Facebook joue la transparence. En janvier 2022, le réseau social a proposé une mise à jour de sa page web consacrée aux contenus rétrogradés. Facebook amoindrit la visibilité de ces contenus parce qu’ils ne respectent pas le règlement du réseau social.
Voici 3 exemples de pratiques que vous ne pouvez pas mettre en place sur votre page Facebook.
1. Créer de fausses attentes pour générer des clics
Facebook décrit ce type de publication par les « publications qui dissimulent des informations ou utilisent des formulations sensationnalistes. »
Bref, tous les posts trompeurs. Facebook justifie d’amoindrir la visibilité de ce type de posts par le fait que « le public préfère que les titres reflètent fidèlement le contenu d’un article afin de pouvoir choisir sur quels liens cliquer. »
2. Renvoyer vers un site web de mauvaise qualité (lent, page supprimée…)
Le réseau social baisse également la visibilité des posts qui renvoient vers un lien de mauvaise qualité.
Facebook décrit ces liens comme les URLs publiées sur votre page Facebook qui renvoient vers des « pages qui ont été supprimées » ou des pages « difficiles à lire sur mobile. »
3. Demander des interactions sans but précis
Facebook déclare interdire « les publications qui demandent une interaction (partages, commentaires, identifications…) à des fins autres qu’un call-to-action spécifique. » Par appel à action spécifique, le réseau social entend, par exemple : « demander de l’aide pour retrouver des personnes ou des biens disparus, lever des fonds, partager une pétition, etc. »
De ce point de vue, on peut supposer que les appels à action pour susciter des inscriptions à un événement, par exemple, ne sont pas non plus interdits.
Le réseau social précise néanmoins que cette règle « n’inclut pas les publications demandant aux personnes d’interagir pour montrer qu’elles soutiennent ou non une cause, ou de partager des informations urgentes concernant des catastrophes naturelles. »